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Blog

Ici, vous retrouverez les dernières actualités de Digi-studio et du partage de connaissances sur des sujets techniques.

Le contenu qui suit n’a pas été pas généré par une IA

Soyez vigilants, vous pourriez très bien tomber sur du contenu inédit 🙂


Première rencontre avec Mistral Large

Notre licorne française Mistral AI a annoncé hier la sortie d’un nouveau modèle de langage Mistral Large dont les capacités s’approchent de GPT-4, ainsi qu’une application web de chatbot baptisée Le Chat.

L’annonce indique également une autre nouveauté qui m’intéresse particulièrement : les modes JSON format and function calling. Ces fonctionnalités déjà disponibles sur OpenAI permettent de contrôler le format de sortie du modèle de langage afin de pouvoir l’interfacer avec des outils externes (API, Code…). Et c’est ce qui me manquait pour pousser plus loin mes tests des modèles de Mistral AI. En effet, sans cette fonctionnalité, il était impossible d’utiliser Mistral AI dans des applications IA complexes (voir mon article sur les RAG).

J’ai donc pu tester Mistral Large et le mode function calling sur un exemple assez poussé et voici un premier résultat.

Premiers pas avec le Retrieval Augmented Generation (RAG)

Si vous vous intéressez un peu aux actualités autour de l’IA, vous avez certainement entendu parler des GPTs, la dernière fonctionnalité de ChatGPT. Il est possible en quelques clics d’uploader des documents pour construire un chatbot personnalisé. Sur le papier ça semble parfait, mais en pratique j’ai constaté plusieurs limitations.

Je me suis donc intéressé au développement d’applications IA en propre (sans passer par ChatGPT) et j’approfondis le sujet depuis quelques semaines. J’ai beaucoup appris, beaucoup testé. Les informations en français sont tellement rares que j’ai décidé de partager mes recherches ici pour vous proposer le contenu que j’aurais aimé trouver. Dans ce billet, je vous expliquerai

  • pourquoi les GPTs ont vite été limitants dans mon cas
  • que sont les embeddings
  • qu’est que le RAG comment on peut construire une application IA
  • mes premiers retours d’expérience.

Comment utiliser l’IA d’OpenAI sans passer par ChatGPT

Pour beaucoup d’entre nous, l’Intelligence Artificielle s’est invitée dans notre environnement de travail. Personnellement, je l’utilise comme assistant virtuel (aide à la rédaction, à l’écriture de code, à la traduction…) mais aussi dans des automatisations plus techniques en utilisant l’API.

Le visage le plus familier de cette technologie est bien entendu ChatGPT mais il existe bien d’autres options pour utiliser OpenAI, parfois plus pratique. J’ai testé un certain nombre d’outils et je voulais partager mon retour d’expérience.

Installer QGIS sur MacOS / Apple Silicon

Depuis que je travaille sur Macbook M1 Pro je fais la chasse aux applications non optimisées pour Apple Silicon (ARM). Et jusqu’à récemment, il me restait une seule application non optimisée : QGIS. La version LTR fonctionne via l’émulateur Rosetta 2. Mais les choses bougent et il est maintenant possible d’installer une version native Apple Silicon.

Les limites GPT-4 en un seul prompt

J’utilise régulièrement OpenAI et plus particulièrement GPT-4 pour m’assister sur diverses tâches (code, rédaction, questions techniques, etc.).

Si vous avez approfondi un peu le sujet, vous savez sans doute que les IA telles que ChatGPT appartiennent à une catégorie appelée Large Language Model (LLM). Sans m’avancer expert dans la théorie, j’ai retenu qu’iI s’agissait d’un modèle “probabiliste” plutôt qu’une réelle forme de conscience ou d’intelligence (vaste débat). Et pourtant nous sommes souvent bluffés par la pertinence des réponses produites, qui donnent l’impression d’une véritable analyse et compréhension des questions posées.

Pour le plaisir de remettre ChatGPT à sa place, je vous propose ici un simple prompt d’une ligne qui met en évidence les limites des IA génératives.

J’ai construit mon propre système d’analytics avec n8n et Airtable

Bien que mon site ne génère pas beaucoup de trafic, et que l’enjeu soit relativement faible (le référencement naturel n’est pas une source d’opportunités à ce stade), il serait frustrant pour moi de ne pas avoir quelques chiffres clés sur mon audience.

Dans la version précédente de mon site, j’utilisais Google Analytics pour collecter des données sur le trafic. Pour la nouvelle version, j’ai décidé d’adopter une approche différente et je vais vous expliquer pourquoi.

Nouveau site pour Digi-Stud.io

J’ai profité de la sérénité de la période estivale pour reconstruire de fond en comble le site de Digi-Stud.io. Le site comprend désormais une section Portfolio et une section Blog que j’ambitionne d’alimenter périodiquement.

Sur le plan technique, c’est un virage à 180° puisque le site précédent était entièrement basé sur des outils No-Code (Notion, Super.so), tandis que le site actuel est propulsé par une solution plus énigmatique (Material for MkDocs).